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La Seine
Que tu regardes mon corps filer le long de la Seine.
Les eaux vertes s’ouvriront, béantes et goûlues,
Elles m’avaleront.
Que tu déchoies et reposes à mon côté
Mes bras envieux de ta personne s’écarteront pour toi.
Que les sanglots continuent de s’écouler doucement sous les ponts de pierre.
ERER
Ecrit par Gala, le Mardi 30 Novembre 2004, 12:15 dans la rubrique "La Russie".
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One of Shakespeare's sisters
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