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Brouillard chaud
Brouillard chaud, vapeurs d’alcool
Danseuses au corps torve et aux pieds nus
Cabarets et farandoles
Enfin j’atteins l’extase tant attendue
J’ai fui vos palais glacés
Ces lits nuptiaux désertés par la joie
La solitude m’a frappé
Vieille déesse qui toujours me côtoie
Ma bouche était amère
Maintenant je bois le sang des mortels
Et soûl je roule à terre
Pour goûter les filles au corps rebelle
Je ne sais pas, je n’ai jamais su
Je ne suis pas, je ne suis plus
Et la vie est une folle splendide
Et venimeuse. Que vienne le vide,
Que rien ne soit. Tout doit finir
Pour que périsse mon souvenir.
ERER
Ecrit par Gala, le Mercredi 27 Avril 2005, 13:27 dans la rubrique "La Russie".
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One of Shakespeare's sisters
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