Jeudi (06/03/08)
Noces
Deux jumelles se tenaient enlacées, les pieds dans la boue, nues l'une et l'autre, espérant que la foudre viendrait les frapper.
L'une s'appelait Guermonde
L'autre vivait en Russie
L'une rencontra un loup.
L'autre suivit un cheval.
Deux jumelles furent enlacées, dans la neige etla boue.
Kochevoï
Ecrit par Gala, à 19:48 dans la rubrique "La Russie".
Mercredi (13/02/08)
Où Dame Guermonde s'éprit d'un chevalier teuton et comment le Baron Geoffroy lui en battit froid.
De qui donc fûtes-vous la maîtresse ?
Ecrit par Gala, à 21:58 dans la rubrique "La Russie".
Lundi (21/01/08)
Dans la tchasovnya désertée :
Ecrit par Gala, à 22:43 dans la rubrique "La Russie".
Samedi (19/01/08)
Les Visiteurs
Silencieuse.
Ecrit par Gala, à 17:14 dans la rubrique "La Russie".
Mardi (04/12/07)
War
Dans la neige et la boue vous iriez, courageux soldats de Nicolas, affronter l'ennemi à os frontières.
Ecrit par Gala, à 17:57 dans la rubrique "La Russie".
Lundi (26/11/07)
Chemins
Les sept rivières
Ecrit par Gala, à 21:46 dans la rubrique "La Russie".
Lundi (08/10/07)
Brest-Litovsk
Vlad Goutine s'enroule dans les saules.
Ecrit par Gala, à 17:12 dans la rubrique "La Russie".
Mardi (18/09/07)
L'assaut
Les soldats dorment dans la terre. Ils sont morts sans gloire. A présent leurs cadavres fertilisent nos champs.
Ecrit par Gala, à 11:47 dans la rubrique "La Russie".
Lundi (17/09/07)
L'armée
Verenski est le cousin de Vronski. Capitaine de l'armée du Tsar.
Ecrit par Gala, à 17:01 dans la rubrique "La Russie".
Vendredi (14/09/07)
Tempête
Dans la tempête, je suis dans la tempête et les ténèbres. Dans les ténèbres je suis. En enfer, je suis en enfer. C'est le domaine de la reine déchue de son trône et de sa couronne. Le ruisseau de rubis qui coule à ses pieds Est une rivière de sang charriée par la passion qui l'a suicidée, Celle qui a suicidé son amant, le barbare carmin et feu. Son manoir est hanté par le meurtre du meurtrier dont les armes d'acier avaient été fourbies dans la terre noire et humide du cauchemar Etrange lueur pâle qui m'aveugle et me refroidit Et aspire mon âme. Le cadavre livide de mon adultère mutilé gît sur le marbre Glacé de la chambre aux rideaux lourds, aux vitres bleues, aux portes dorées. Si le jour se lève La nuit s'évade de la chambre. Et mon crime n'en est que plus baigné dans l'aurore.
Ecrit par Gala, à 14:20 dans la rubrique "La Russie".
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